2 nuits
Samedi, Daedelus & Coldcut @ Tryptique.
Ca commence pas trop mal, même si j'y suis allé à reculons tellement la première moitié de Coldcut que j'avais vu y'a six mois s'était avéré nulle, ouais juste nulle. Bon la le set de Daedelus est bien, il a une bonne tronche et il fait des trucs bizarres mais agréables à ton oreille. L début de celui de Coldcut est bien aussi jusqu'au moment où les branchouilleux arrivent. Rapidement, la piste ça devient des gens qui vont de l'avant vers l'arrière et vice et versa en regardant du coin de l'oeil si on les remarque, t'obligeant à te coincer contre le mec de gauche qui tente de draguer - bourré - sa troisième meuf de la soirée avant de passer à la quatrième, et la fille de droite qui tient absolument à se faire remarquer sur le dancefloor avec les lunettes de soleil, et forcément elle ne voit plus tes pieds cette salope et elle marche dessus avec ses bottes en fourrure dont même un eskimo ne voudrait pas.
Eu bout d'une heure le set devient merdique, merdique, franchement merdique, pour les gens qui t'entourent c'est pas trop grave de toute façon depuis le début la seule chose qu'ils écoutent c'est leur vanité, et vu le putain de boucan qu'elle fait ça change rien pour eux. Toi t'as bien kiffé le début mais t'as à peine pu danser coincé au milieu de ces gens charmants qu'on doit tolérer puisque c'est vilain et un peu nazi en 2005 d'être fatigué de tout ça. Et puis la ça devient franchement insupportable, déja danser quand t'en as envie c'est un peu chaud si tu espères garder tes pieds en état après la fin de la soirée, alors danser pour danser...
Alors on se met dos à un mur en espérant qu'au moins la musique devienne mieux, que l'espéce de pseudo légende là au fond fasse ce qu'il aime plutot que de se complaire à être accessible, faut pas heurter connard, hein ? Devant toi c'est la galerie qui défile, cette année la mode c'est porno chic, c'est moche comme l'an dernier mais différemment, les gens mettent toujours des lunettes de soleil dans des lieux où il fait quasiment nuit mais en plus cette année ils ont juste récupéré celles que leurs parents avaient cachés dans les 70's quand ils s'étaient aperçu à quel point elles étaient laides.
Tu pourrais presque trouver du réconfort dans cet étalage sordide si au fil des ans il n'était pas devenu lassant, si tu n'avais pas l'impression que c'est toujours la même chose et que seuls les gens qui passent devant ne l'ont pas compris, et continuent à déchirer tous les deux ans les photos des années précédentes sur lesquelles ils ont décidemment l'air trop ridicule.
Bref, tout ça brille autant que ça pue, trop de gloss et de paillettes, trop d'uniformité dans la mocheté, alors t'attends toujours un peu, parfois jusqu'au bout de la nuit, en espérant que ça va se vider un peu, que le charmant connard qui vient de se précipiter dehors habillé comme la dernière star MTV en retenant presque tout son vomi dans ses mains en coupe ne va pas revenir dans ton dos, que tout ça change un peu, ou ça paraisse neuf, que peut-être quelqu'un passe qui ait l'air vivant, et pourvu de plus de dimension que ces filles en plastique aussi brillantes qu'un miroir et pourvue de la même épaisseur, que le DJ redevienne ton ami en mettant sur ses platines de quoi te faire du bien à la tête, et au coeur.
Et puis au bout d'un moment, la fatigue te tombe sur la gueule, là sur le dancefloor ou au bord c'est toujours la même merde, ici devant tes yeux aussi, et tu commences à renoncer. L'ambiance t'épuise, l'air refoule la compétition chargée de téstostérone, de parfums trop riches pour être agréable, et tout ça pue le fric, le milieu de privilégiés décérébrés qui tire les prix vers le haut et le plaisir vers le bas. Enculés de riches ça te vient rapidement sur tes lèvres mais quand même toi aussi tu fais partie de toute cette plèbe.
Alors tu t'en vas, t'en as pour 40 minutes à rentrer à pied, seul, mais le sentiment de solitude t'étouffera surement moins que ce putains de séjour au milieu des paons et des grues.
Et quelque part, l'air frais sur la gueule... ça fait du bien.
Mardi, Marco Passarami @ Concorde Atlantique.
Il fait chaud, trop chaud, et ça fait quelques heures que tu est coincé sous un parasol, écrasé par la foule. Le deuxième set c'est l'horreur, années 80 merdouillantes comme c'est la mode cette année, et autour de toi c'est encore le grand défilé des freaks qui s'ignorent. Marco ne commence que dans deux heures, ça va etre dur de tenir jusque la, trop de monde, trop de rires débiles, trop chaud, trop cher, trop de gens qui cherchent à t'écraser pour préserver leur coin d'herbe, quand ils ne le fument pas en plein dans ta gueule. Et puis tu tiens tu ne sais pas comment, parce que quand même Sullen Lock était bien, que t'adores ce style, et que t'espère qu'ils partiront en masse, hein allez, faites moi plaisir, foutez le camp. Et puis Marco débarque, début de set magique, magnifique, même si c'est encore le même cirque que d'habitude, passages incessants, dragueurs à deux balles, plantes toxiques qui te foutent leurs coudes dans la gueule. salopes.
Heureusement ça se vide peu à peu, ça devient vivable, on peut enfin se lacher, vivre le beat à fond, sauter dans tous les sens porté par les nappes, secoué par les rythmes. Ca ne dure pas très longtemps, tout ça est trop échevelé pour les zombies wannabees qui t'entourent, qui se défilent en masse, Marco prend peur et ressombre dans les années 80. Et ça dure et ça dure, et ça dure, même si Ken et Barbie resteront de toute façon sur le pont à se raconter du vide, ça dure jusqu'à ce que t'en ai marre, que t'acceptes qu'ils ont encore gagné, et que tu t'en ailles. De toute façon, tu bosses demain, t'es sorti un peu c'est déja pas mal, et puis sur six heures de soirée y'a bien eu une heure de bien non ? Qu'est ce que tu voudrais en plus ? Que le dancefloor soit occupé par des gens qui dansent ? Que ces mêmes gens viennent la pour la musique et la laisse vivre en eux ? Voire croiser des personnes qui seraient dans le même cas que toi, autres que celles avec qui tu es venu ?
Rêve pas petit, t'es en 2005, il faut en rire de tout ça, voyons c'est drôle après tout ces gens la ne sont pas méchants, ils te font juste perdre ton temps, ils te gachent juste ces rares bouffées d'oxygène dans la vie, ils teintent juste les seuls endroits où tu pourrais vraiment te lacher et guérir tout le reste du même gout de vomi éternellement vendu comme de l'or qui imprègne ta société, ton travail, leurs loisirs, les relations que tu as avec eux, et au final, ta vie.
Alors sois pas relou gamin, surtout courbe la tête, accepte tout ça, on t'a accordé une heure de plaisir ce soir c'est pas si mal non ? On t'en demande pas beaucoup : travaille, consomme, suis nous, suis les, sombre dans tout ça, tu verras tu seras vachement plus heureux, sourire béat aux lèvres, méat aux lèvres aussi, ne pleure pas, c'est pas comme si t'avais l'impression de te trahir.
Ca commence pas trop mal, même si j'y suis allé à reculons tellement la première moitié de Coldcut que j'avais vu y'a six mois s'était avéré nulle, ouais juste nulle. Bon la le set de Daedelus est bien, il a une bonne tronche et il fait des trucs bizarres mais agréables à ton oreille. L début de celui de Coldcut est bien aussi jusqu'au moment où les branchouilleux arrivent. Rapidement, la piste ça devient des gens qui vont de l'avant vers l'arrière et vice et versa en regardant du coin de l'oeil si on les remarque, t'obligeant à te coincer contre le mec de gauche qui tente de draguer - bourré - sa troisième meuf de la soirée avant de passer à la quatrième, et la fille de droite qui tient absolument à se faire remarquer sur le dancefloor avec les lunettes de soleil, et forcément elle ne voit plus tes pieds cette salope et elle marche dessus avec ses bottes en fourrure dont même un eskimo ne voudrait pas.
Eu bout d'une heure le set devient merdique, merdique, franchement merdique, pour les gens qui t'entourent c'est pas trop grave de toute façon depuis le début la seule chose qu'ils écoutent c'est leur vanité, et vu le putain de boucan qu'elle fait ça change rien pour eux. Toi t'as bien kiffé le début mais t'as à peine pu danser coincé au milieu de ces gens charmants qu'on doit tolérer puisque c'est vilain et un peu nazi en 2005 d'être fatigué de tout ça. Et puis la ça devient franchement insupportable, déja danser quand t'en as envie c'est un peu chaud si tu espères garder tes pieds en état après la fin de la soirée, alors danser pour danser...
Alors on se met dos à un mur en espérant qu'au moins la musique devienne mieux, que l'espéce de pseudo légende là au fond fasse ce qu'il aime plutot que de se complaire à être accessible, faut pas heurter connard, hein ? Devant toi c'est la galerie qui défile, cette année la mode c'est porno chic, c'est moche comme l'an dernier mais différemment, les gens mettent toujours des lunettes de soleil dans des lieux où il fait quasiment nuit mais en plus cette année ils ont juste récupéré celles que leurs parents avaient cachés dans les 70's quand ils s'étaient aperçu à quel point elles étaient laides.
Tu pourrais presque trouver du réconfort dans cet étalage sordide si au fil des ans il n'était pas devenu lassant, si tu n'avais pas l'impression que c'est toujours la même chose et que seuls les gens qui passent devant ne l'ont pas compris, et continuent à déchirer tous les deux ans les photos des années précédentes sur lesquelles ils ont décidemment l'air trop ridicule.
Bref, tout ça brille autant que ça pue, trop de gloss et de paillettes, trop d'uniformité dans la mocheté, alors t'attends toujours un peu, parfois jusqu'au bout de la nuit, en espérant que ça va se vider un peu, que le charmant connard qui vient de se précipiter dehors habillé comme la dernière star MTV en retenant presque tout son vomi dans ses mains en coupe ne va pas revenir dans ton dos, que tout ça change un peu, ou ça paraisse neuf, que peut-être quelqu'un passe qui ait l'air vivant, et pourvu de plus de dimension que ces filles en plastique aussi brillantes qu'un miroir et pourvue de la même épaisseur, que le DJ redevienne ton ami en mettant sur ses platines de quoi te faire du bien à la tête, et au coeur.
Et puis au bout d'un moment, la fatigue te tombe sur la gueule, là sur le dancefloor ou au bord c'est toujours la même merde, ici devant tes yeux aussi, et tu commences à renoncer. L'ambiance t'épuise, l'air refoule la compétition chargée de téstostérone, de parfums trop riches pour être agréable, et tout ça pue le fric, le milieu de privilégiés décérébrés qui tire les prix vers le haut et le plaisir vers le bas. Enculés de riches ça te vient rapidement sur tes lèvres mais quand même toi aussi tu fais partie de toute cette plèbe.
Alors tu t'en vas, t'en as pour 40 minutes à rentrer à pied, seul, mais le sentiment de solitude t'étouffera surement moins que ce putains de séjour au milieu des paons et des grues.
Et quelque part, l'air frais sur la gueule... ça fait du bien.
Mardi, Marco Passarami @ Concorde Atlantique.
Il fait chaud, trop chaud, et ça fait quelques heures que tu est coincé sous un parasol, écrasé par la foule. Le deuxième set c'est l'horreur, années 80 merdouillantes comme c'est la mode cette année, et autour de toi c'est encore le grand défilé des freaks qui s'ignorent. Marco ne commence que dans deux heures, ça va etre dur de tenir jusque la, trop de monde, trop de rires débiles, trop chaud, trop cher, trop de gens qui cherchent à t'écraser pour préserver leur coin d'herbe, quand ils ne le fument pas en plein dans ta gueule. Et puis tu tiens tu ne sais pas comment, parce que quand même Sullen Lock était bien, que t'adores ce style, et que t'espère qu'ils partiront en masse, hein allez, faites moi plaisir, foutez le camp. Et puis Marco débarque, début de set magique, magnifique, même si c'est encore le même cirque que d'habitude, passages incessants, dragueurs à deux balles, plantes toxiques qui te foutent leurs coudes dans la gueule. salopes.
Heureusement ça se vide peu à peu, ça devient vivable, on peut enfin se lacher, vivre le beat à fond, sauter dans tous les sens porté par les nappes, secoué par les rythmes. Ca ne dure pas très longtemps, tout ça est trop échevelé pour les zombies wannabees qui t'entourent, qui se défilent en masse, Marco prend peur et ressombre dans les années 80. Et ça dure et ça dure, et ça dure, même si Ken et Barbie resteront de toute façon sur le pont à se raconter du vide, ça dure jusqu'à ce que t'en ai marre, que t'acceptes qu'ils ont encore gagné, et que tu t'en ailles. De toute façon, tu bosses demain, t'es sorti un peu c'est déja pas mal, et puis sur six heures de soirée y'a bien eu une heure de bien non ? Qu'est ce que tu voudrais en plus ? Que le dancefloor soit occupé par des gens qui dansent ? Que ces mêmes gens viennent la pour la musique et la laisse vivre en eux ? Voire croiser des personnes qui seraient dans le même cas que toi, autres que celles avec qui tu es venu ?
Rêve pas petit, t'es en 2005, il faut en rire de tout ça, voyons c'est drôle après tout ces gens la ne sont pas méchants, ils te font juste perdre ton temps, ils te gachent juste ces rares bouffées d'oxygène dans la vie, ils teintent juste les seuls endroits où tu pourrais vraiment te lacher et guérir tout le reste du même gout de vomi éternellement vendu comme de l'or qui imprègne ta société, ton travail, leurs loisirs, les relations que tu as avec eux, et au final, ta vie.
Alors sois pas relou gamin, surtout courbe la tête, accepte tout ça, on t'a accordé une heure de plaisir ce soir c'est pas si mal non ? On t'en demande pas beaucoup : travaille, consomme, suis nous, suis les, sombre dans tout ça, tu verras tu seras vachement plus heureux, sourire béat aux lèvres, méat aux lèvres aussi, ne pleure pas, c'est pas comme si t'avais l'impression de te trahir.
posted by Tybalt at 12:12
18 Comments:
J'aime bien le ton un poil misanthrope. Non pas le misanthrope "naturel", le misanthrope désabusé de tant de vacuité au coeur des nuits parisiennes.
La fin est grandiose; la "hype attitude", tu as raison, c'est le nouveau soma. Bigoût: acidulé puis amer. Ton texte est la synthèse de ceci, à la différence que l'acidulé cède la place à l'acidité. Et c'est bon, parfois.
Putain Donatien, qu'est ce qui t'arrives? On t'as vu avec Hervé l'autre soir au Tryptique, tu ressemblais à rien, t'étais seul avec ton paquet de galloise... Putain le Hervé il était en mode renard avec les gonzesses mais comme je me faisais chier, je me suis dit qu'on allait se foutre de ta gueule. Ben ouais, on est pas hype nous aussi mais on aime les aigris. J'm'rappelle, on est arrivé, tu nous a regardé et on t'a sorti en coeur:"Ni Kaki ni Teki : lève les mains à ta gorge, arrache ta moelle épinière et regarde ton corps tomber." Putain la kète, t'es parti chialer aux chiottes pour le reste de la soirée.
On t'adore Donatien, continue à faire le blasé sur ton blog de gamin de 16ans, tu nous fera toujours rire.
A bientôt!
Je m'appelle pas Donatien et je ne fume pas.
Et même si c'était le cas, avant de penser dans ta ptite tête des phrases que tu rêves de sortir un jour, faudrait déja penser à t'acheter des couilles pour poster autrement qu'en anonyme.
Tiens te revoilà toi. Oui je suis en anonyme mais ce n'est pas comme si j'étais introuvable.
Allume ton petit cerveau et tu devineras qui je suis... enfin qui nous sommes parce qu'avec Hervé, on a beaucoup pensés à toi camarade.
Nos rêves ne sont que réalité.
Nan mais en même temps je m'en branle totalement de savoir qui tu es, je connais de toute façon pas d'Hervé et personne n'es jamais venu m'adresser la parole au Tryptique en reprenant les paroles que tu cites.
Bon t'as pas peut-être rien de mieux à foutre que de surveiller ici si je réponds mais c'est pas mon cas alors adieu
Bon écoute beau gosse. Je vais la jouer facile pour toi ok? genre option "Hélène et les garçons"?
Tu fais la promo de ton petit blog partout sur le net avec un titre bien prétentieux. Tu crois quoi, que les gens ne vont pas y aller? Surtout des "fuckers" comme nous?
Ensuite, tu passes le plus clair de ton temps à critiquer les gens sans avoir le courage de leur dire en face ce que tu penses d'eux. C'est mignon de jouer les durs sur un blog mais ces gens là n'ont pas la chance de te répondre et de se justifier. La musique, elle passe au second plan , l'important pour toi c'est de railler les autres. Alors nous, on se fout de ta gueule avec nos armes. Tu crois quand même pas que tu aillais rester comme ça en toute impunité? Tu me rappelles ce mec pendant le soundsystem d'ADF y'a 2ans au nouveau casino. Le trainspotter de base, posé au premier rang avec son t-shirt de toucan "massive attack". Les mcs d'adf lui tendent la main comme à tout le monde pour qu'il l'a serre et le gars refuse et se barre ^pleurnicher au bar. Toi t'es pareil. Tu crois que les lives sont fais pour les connards aigris dans ton genre. Ben non mec, chacun sa façon d'apprécier la musique. La hype ne te plait pas? Quitte Paname et vite. Tu t'en fous des gens? reste chez toi et télécharger des bootlegs.
Voilà Donatien, tout est dit. Vivement qu'on te recroise avec Hervé pour s'offrir une franche partie de rigolade.
Bisous.
Ah ben enfin au bout de deux messages tu te décides à dévoiler tes griefs qui effectivement atteignent le niveau "Hélène et les garcons". et encore.
Revoyons la scène au ralenti.
"Tu fais la promo de ton petit blog partout sur le net avec un titre bien prétentieux."
Ouais c'est à peu près le but d'un blog que d'être lu je crois hein, ne m'en veux pas surtout.
"Tu crois quoi, que les gens ne vont pas y aller?"
Oui. Enfin je ne suis pas assez prétentieux qu'ils vont être interessés au premier regard.
"Surtout des "fuckers" comme nous?"
Le "fuckers" du titre ne fait pas forcément référence aux lecteurs, mais bon apparemment tu n'y a pas compris grand chose.
"Ensuite, tu passes le plus clair de ton temps à critiquer les gens sans avoir le courage de leur dire en face ce que tu penses d'eux."
Ah ? Au risque de me répéter tu ne me connais pas, je ne vois pas comment tu peux en déduire donc mon comportement en temps normal.
Ensuite ce que tu décris là me semble un comportement profondément humain.
De plus venant de ta part, toi qui poste en anonyme cette critique est ridicule.
"C'est mignon de jouer les durs sur un blog mais ces gens là n'ont pas la chance de te répondre et de se justifier."
Ah merde vive l'angélisme. J'imagine un peu le marasme si chacune des personnes attaquées par n'importe quel écrit quelque part avait le loisir de pouvoir y répondre et d'être vu. Nom de dieu je suis MECHANT je CRITIQUE. C'est odieux.
Ensuite t'es en train de faire quoi là ? T'es pas en train de répondre et de critiquer ? Je t'ai censuré ?
"La musique, elle passe au second plan , l'important pour toi c'est de railler les autres."
Ah ! Première critique valide même si elle est plutot très limitée par rapport à la réalité, et ne réussit pas à rendre une image correcte de celles-ci. Si tu avais lu les autres textes tu aurais peut-être un tableau plus global de la situation.
Et encore une fois t'es en train de faire quoi là ? Tu serais pas en train de railler par hasard.
"Alors nous, on se fout de ta gueule avec nos armes."
Oh ben putain va falloir trouver mieux.
"Tu crois quand même pas que tu aillais rester comme ça en toute impunité?"
Ah bah si ce que j'écris ne me parait ni particulièrement pertinent ni particulièrement originale ni partilculièrement offensif.
Ou alors faut vraiment être con pour être choqué par ce texte.
Je passe le blabla sur ADF & co c'est un peu ridicule.
"Tu crois que les lives sont fais pour les connards aigris dans ton genre."
Oh ouais j'adorerais aller a un live à dix. Merde tiens je le fais pourtant.
Je te jure la plupart du temps quand je vais à un concert ou à une soirée y'a des gens passionés. et passionnants aussi. Pas de ceux que je décris dans le texte ci dessus.
"Ben non mec, chacun sa façon d'apprécier la musique."
Putain ça vole haut la. Et se moquer c'est pas bien. ouin.
"La hype ne te plait pas? Quitte Paname et vite."
Ouh la la y'a encore des choses à faire a Paname y'a même énormément de coins où la hype n'est pas présente mon pote.
Bon je suis tout de même ravi de voir que mon simple texte réussit tout de même à te toucher au plus profond et à te rendre colérique au point de venir débiter des sornettes consensuelles en les prenant pour des lanternes magnifiques.
Tu parlais de courage plus haut, moi j'ai le courage d'écrire sur ce que je pense, de le publier, et de répondre aux critiques. Je pourrais limiter le lectorat de ce blog à quelques personnes qui auraient kiffer, mais quel intérêt ? Autant se confronter à des gens qui seront blessés non?
Alors quand tu trouveras le courage d'utiliser un vrai nom parce que de toute évidence tu viens d'un site qu'on connait tous les deux, peut-être que tes critiques acquéreront un poil de validité.
Un poil de maturité et de choses disons plus profondes (y'en avait une dans ton post) ça serait mieux, mais bon faut pas rêver.
Sur ce je te laisse faire la bise de ma part à Hervé,et n'embêtez pas trop ce pauvre Donatien il n'y est pour rien ;)
Comme je te l'ai déjà dis, je suis trouvable, je ne me cache pas mais je vais pas m'inscrire sur ton blog, ça serait te donner une forme de reconnaissance que ma réponse t'as déjà attribuée d'une certaine manière.
Le premier message tu l'as pris au premier degré ce qui nous a fait beaucoup rire. C'est au bout du troisième que t'as sorti les crocs. Biensûr que critiquer l'autre c'est tout à fait naturel, c'est ce que l'on fait avec toi. Tu t'amuses à te décrire comme un connard aigri et tu voudrais que l'on te juge comme un saint. Désolé mec mais ton blog, c'est l'image que tu veux représenter de toi. On en conclut donc ce que j'ai écris plus haut.
"Nom de dieu je suis MECHANT je CRITIQUE."
Exact Donatien, nous ont fais pareil mais on l'assume totallement. Disons que nous, si on voit des gens ridicules, on leur dis. Toi t'as l'air d'être un très bon donc on te fait la peau. Normal.
Ah et puis pour ADF, on voit bien que t'as pas compris ce que j'essaye de te faire comprendre, comme quoi, t'es pas si intelligent que ça.
Allez je te laisse le mot de la fin, il faut que je retourne affronter la censure sur Infratunes... On se reverra bientôt j'espère.
JC - dit "Oldschooler" (comme ça c'est signé coco)
Bon ben en gros au final t'as rien à dire et t'en es fier.
Encore une fois si tu prenait le temps de lire les autres textes tu verrais que la position de connard aigri est parfaitement revendiqué jusque sur le site que tu cites.
Je ne cherche pas à passer pour un saint j'en ai rien à foutre.
Pour ADF c'est surtout que ce ne me concerne absolument pas.
Sur ce je te laisse aller te faire censurer sur Institubes je crois que tu t'es trompé de nom dans ta phrase.
Merci quand même pour la forme de reconnaissance, car ça fait plaisir d'écrire sur des crétins et de voir qu'on arrive à les toucher en plein coeur.
Ouais on t'a touché en plein coeur, t'es venu chialler auprès des modérateurs d'Infratunes, pauvre minable... Allez fonce vite descendre mon karma.
Putain mon dieu anonymous de merde ferme ta gueule, tu es en train de te t'afficher partout comme une vieille daube et t'as meme pas l'air de t'en rendre compte un seul instant.
Je te le dis, je suis gentil.
Arrête d'essayer de disser les grands et laisse ton orgueil de petit con au bac à sable , à moins que tu ne tienne serieusement à devenir le sujet principal des blagues àla mode du coin.
Crée toi ton blog de fan frustré de merde ou tu te tripotera sur les bouses d'asian dub foundation et lache les testicules des gens.
Tu cherches juste à envahir de façon pitoyable un espace de parole qui n'est de toute évidence pas le tiens, par désoeuvrement, c'est meme pas si drole finalement, juste triste.
"faudrait déja penser à t'acheter des couilles pour poster autrement qu'en anonyme."
Un mec qui arrive à se foutre la honte de la sorte au point que tout internet se foute de sa face, sans qu'il n'est l'air de s'en douter, ne peut decemment pas reveler ça réelle indentité si il lui reste une once de fierté.
Comme dirait Ideal:
"Ma foi vaut mieux un p'tit chez soit qu'un plus grand chez les autres.
Maintenant on veut un plus grand chez nous et chez les autres"
Mon blog, vous le connaissez tous, il est là:
http://www.cigarettes-and-alcohol.com/phpBB2/viewforum.php?f=4
Avec ses salutations les plus distinguées.
Le H.
Haha le mec il vient faire de la pub pour son topic d'evadé de cantine sur un blog ou tout le monde se contrefout integralement de son avis et chiale quand les mecs reagissent dans le thread en question en les traitant de nazi.
"Tiens te revoilà toi."
C'est un peu son blog donc en meme temps y a rien de vraiment etonnant le dedans.
Pauvre con.
Haha quel con ce "jc" alias "oldschooler" alias "hugofromlondon" alias "le mec qui avait lamentablement insulté nil sans avoir les couilles de le faire sous son pseudo habituel" alias "pikuni" alias surement pleins d'autres
Ils sont marrants tous. Les mecs, je les ai occupes pendant plus d'une semaine et ils osent venir faire les malins maintenant genre "le gars c t un kon ils insultes les jens en anonime". Comme si j'etais introuvable. C'est vrai qu'un mec qui laisse l'adresse de son forum, son adresse msn, ses adresses mails et sa gueule sur le trombi d'Infratunes cherche a se planquer.
Putain mais ferme ta gueule abruti de merde !
Get a life !
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